Le verger familial Carleton a été établi en 1963 par son père. Bob a fréquenté le lycée Manson avant de passer à l'Université de l'État de Washington. Après le collège, il a fait un apprentissage de quatre ans en tôlerie. Réalisant qu'il voulait travailler à l'extérieur, il a rejoint son père travaillant dans le verger en 1980. Peu de temps après, il a commencé à acheter la terre de son père. Bob et sa femme, Terrie, se sont mariés en 1988. Elle avait grandi dans une ferme laitière à Orting, WA et est maintenant enseignante au lycée Chelan.
En 1992, Bob a commencé le processus de replantation, en installant des systèmes de treillis pour améliorer l'efficacité et s'orienter vers de nouvelles variétés. La conversion à haute densité lui a permis de faire pousser jusqu'à 2,000 XNUMX arbres par acre.
Être membre de Manson Growers lui a donné l'occasion de s'impliquer davantage dans ce qui est fait avec les fruits une fois qu'ils ont été cueillis et envoyés à l'usine d'emballage.
« Je fais partie d'une coopérative depuis que je suis un jeune garçon – et mon père aussi. En tant que petit producteur, vous avez la possibilité d'être pratique. Votre voix est entendue un peu plus.
En plus de siéger au conseil d'administration de Manson Growers, il occupe maintenant un poste de membre du conseil d'administration d'une nouvelle coopérative de travail à but non lucratif appelée MANCO pour constituer une équipe de travailleurs pour les producteurs locaux de la région. La région de Chelan a son propre ensemble de défis étant un site touristique majeur avec de faibles niveaux de main-d'œuvre locale.
« Obtenir une main-d'œuvre pour les travaux que nous devons accomplir en temps opportun est difficile », explique-t-il.
La coopérative de travail en est encore à ses débuts, note-t-il, et il pense que l'une des premières du genre dans l'État. L'année dernière a été un essai pour quatre producteurs et a été extrêmement fructueux. Le programme opt-in verra le nombre de membres augmenter au cours de l'année à venir.
« Il y a deux ans, il nous a fallu deux mois et demi pour éclaircir le verger. L'année dernière, nous l'avons fait en 39 heures. Bob souligne à quel point cette solution expérimentale au plus grand dilemme de l'agriculture lui a donné de l'espoir pour l'avenir. Cela suscite l'optimisme que le verger se poursuivra et sera disponible pour ses deux fils s'ils sont intéressés après le collège.
Être actif avec la coopérative est apprécié par Bob. « Vous essayez d'être un bon voisin et de soutenir vos collègues producteurs. Nos producteurs vieillissent et cela peut être difficile. Je pense que notre coopérative les maintient en vie », dit-il, « si vous pouvez aider à garder un autre producteur viable, cela soutient votre communauté.
Le nombre est le pouvoir et s'allier à d'autres producteurs permet à chacun de réussir. En se soutenant mutuellement, ils renforcent la viabilité de leurs propres opérations pour l'avenir.
